Pour trouver les sens des maux, cherchez peut-être l’essence des mots.
En tant qu’êtres humains, qui sommes-nous vraiment ? Une personnalité ou un être souverain ?
Comment discerner les différences entre ces deux notions si méconnues du grand public ?
Et surtout comment arriver à vivre harmonieusement sur Terre l’un et l’autre de ces concepts ?
Comment se passe la conquête de notre souveraineté ? Quelles en sont les étapes ?
Voilà les questions que nous allons nous poser ici pour résoudre cette question existentielle si centrale, si essentielle.
La philosophie pythagoricienne des origines conduit à réaliser des initiations permettant à tout un chacun de retrouver les lois de construction de notre nature humaine (Physis), de découvrir les clés de notre création. Lorsqu’un initié pythagoricien fait vivre le retour à la conscience à quelqu’un qui est dans un coma de longue durée et souhaite revenir à la conscience, il est impressionnant de constater que trois entités disjointes sont en présence : un corps physique fait de matière, une personnalité constituée de comportements, de pensées et d’émotions, et une âme reliée à un Créateur individuel, empli de connaissance et d’amour (cf. ouvrage Le Fil de la Vie, 2007, Editions l’Harmattan). Détaillons un peu plus cette assertion.
Comme l’ont très bien démontré le mathématicien biologiste Emile Pinel (1906-1985), et sa collaboratrice Jacqueline Bousquet (1935-2013), et comme l’ont ensuite confirmé les travaux du biophysicien Rupert Sheldrake (né en 1942), ainsi que ceux de la physique de charge d’espace dans les isolants que j’ai eu l’opportunité d’étudier avec une communauté de plus de 100 chercheurs du CEA et du CNRS, il existe plusieurs niveaux de champs de construction d’un être humain (cf. DVD de ma présentation faite au colloque « Quantique Planète », le 17 novembre 2012, à Reims). Reprenons-les ici en décrivant succinctement comment nous venons à la vie terrestre, puisque ces trois physiques convergent et nous montrent des constantes indéniables.
Le champ Créateur H2, à la limite de l’espace-temps, descend de façon planifiée depuis l’âme, sous forme d’un vortex dextrogyre, pour s’incarner dans la matière et générer le champ H1, un champ morphogénétique structurant le corps physique. Dès que ce champ H1 est créé, l’ensemble des deux champs H1 et H2 va engendrer un champ dérivé induit appelé le champ H3 de la personnalité individuelle de l’être qui est créée en cette vie. Ce champ H3, qui se déploie dans l’espace-temps, va apprendre des évènements de la vie. Il est constitué d’un champ comportemental éthérique, d’un champ astral émotionnel et d’un champ mental, des champs qui sont tous les trois bien distincts, chacun matérialisant une interaction différente avec la matière. Le champ éthérique matérialise une interaction entre la matière et des électrons piégés qui tournent de façon lévogyre (le bas astral). Le champ du haut astral est un champ électronique libre tournant en vortex, cette fois-ci de façon dextrogyre. Le champ mental est un champ photonique tournant en vortex de façon lévogyre (la fausse lumière décrite dans le post#6 sur la vérité). Alors que le champ de création de l’âme H2 est quant à lui un vortex supra-électrique tournant de façon dextrogyre.
Issu de notre expérience de vie, nous remontons ensuite à notre Créateur, bien au-delà de l’âme, des connaissances expérimentées, comprises et intégrées sous la forme d’un vortex dextrogyre supra-électrique connaissant H0.
Ainsi, cette lumière de vérité qui « remonte », enseigne notre Créateur de tout ce que notre créature a réussi à expérimenter de juste, de beau, de bon, de bien en ce monde terrestre.
Le reste ne remonte pas, et si ce n’est pas mis en terre consciemment (cf. post#2 sur la responsabilité), cela va se retrouver bloqué dans le champ H3 de personnalité de l’être qui parcourt sa vie terrestre.
A la mort du corps physique de l’être humain, comme nous le montre très bien la science mathématique, H1 = 0 et H2= 0, mais le champ dérivé H3 demeure. La personnalité de l’être, hors les connaissances qu’il a découvertes et déjà remontées à son Créateur, va donc rester présente en deux corps bien distincts qui vont se séparer lors du processus de décès en deux champs d’énergie différents : un champ astral des émotions non digérées et un champ mental des pensées non explorées jusqu’à leur vérité première (les vérités relatives). Ce sont ces deux champs de personnalité que vont capter les personnes ayant des capacités de médiumnité ou de channeling quand elles vont amener un être vivant en relation avec tel ou tel défunt proche avec lequel l’individu souhaite communiquer. Le champ H3 perdure après la mort de l’être humain au sens purement terrestre. En prenant l’analogie du poste radio, nous pourrions dire que le poste n’existe plus mais que les deux gammes de fréquence d’ondes qu’il captait sont toujours présentes.
Ce qui apparaît très clairement ici, c’est que le champ de notre conscience créatrice, fait de champ créateur H2 à l’aller, et de champ connaissant H0 au retour, est celui de notre souveraineté. C’est le champ de notre conscience supérieure hors espace-temps, celui qui parcourt les vies terrestres en restant sans cesse présent, et à chaque fois encore plus enrichi de chaque expérience de vie engrangée.
Les textes sacrés nous le disent, tout autant que la pratique des initiations philosophiques le fait vivre, ou que la physique en esquisse ses contours : ce champ de notre souveraineté n’est pas de ce monde, même s’il va s’incarner dans ce monde. C’est à l’intérieur du trou noir solaire que nous pouvons accéder au Royaume si bien décrit dans l’évangile de Thomas que nous avons commenté dans l’ouvrage La Bonne Nouvelle, vol.1 et vol.2 (2019, Editions Croix du Salut).
L’élément constitutif de cet espace de souveraineté du Créateur est l’éther. Chez les pythagoriciens, cet espace de plus grande gravitation a toujours été décrit comme structuré sous la forme géométrique de l’icosaèdre (20 facettes triangulaires). Il est lié à la structuration de douze atomes d’hydrogène réducteurs compactés au maximum vers l’intérieur.
L’espace de royauté créatrice se déploie ensuite à l’extérieur, aux frontières de l’espace-temps de notre univers solaire, en émettant un feu de lumière temporaire, celui de l’âme qui vient expérimenter la vie terrestre. L’âme est co-créatrice d’un Créateur. Elle n’existe que de manière temporaire pour vivre une série d’incarnations différentes et en tirer parti. L’élément constitutif de cet espace de co-souveraineté de l’âme est le feu. Chez les pythagoriciens, cet espace de feu a toujours été décrit par la Tétraktys rayonnante, c’est-à-dire par la figure géométrique d’une merkabah constituée de deux tétraèdres (4 facettes triangulaires) imbriqués l’un en l’autre. Il est lié à la structuration de l’atome d’oxygène oxydant.
L’espace immédiatement généré à l’extérieur des structures icosaédrique et double tétraédrique dans l’ordre de succession, par l’interaction entre le champ H2 et la matière terrestre, est le champ H1 physique de notre matière carbonée à base cubique, et non pas un champ aérien comme beaucoup auraient pu le penser. L’ordre de génération des éléments pythagoriciens le met bien en évidence : l’éther génère le feu qui génère la terre, puis suivront ensuite l’air et au final l’eau vivante qui rebouclera ensuite avec l’éther. En d’autres termes, l’espace de notre souveraineté génère la matière de notre créature terrestre.
Les deux espaces qui suivent, dérivés des deux premiers royaumes précédemment évoqués, un espace qui n’est pas de ce monde (l’éther H2-H0), et un qui est ce monde-ci (la Terre H1), vont être l’espace aérien et l’espace aquatique de notre personnalité H3 (comportement, émotions et mental limité).
Concernant l’espace aérien du mental de fausse lumière ou de vérités relatives (cf. post#6), on peut observer que dans les milieux anaérobies (sans oxygène) des milieux internes à notre corps (exemple du système digestif), cet espace a toujours été décrit chez les pythagoriciens par un double octaèdre (8 faces triangulaires) décalé de 45 degrés. Aujourd’hui, grâce à la chimie, nous pouvons dire que c’est l’espace du gaz butyrate, si vital dans la bonne hygiène de nos intestins. Avec sa formule chimique C4H8O2, il est constitué du motif d’une base pyramidale carrée de CH2 ayant à chaque sommet un atome d’oxygène O, le tout prévu pour être prêt à s’enflammer en milieu aérobie (avec de l’air = 1 oxygène O2 + 4 azote N2) afin de fabriquer du méthyle acétate C3H6O2, de l’hydrogène H2 et du dioxyde de carbone CO2 en libérant les éléments précédemment générés qu’il gardait occlus sous forme de poupées russes, c’est-à-dire le carbone en structure cubique, puis l’oxygène et enfin l’hydrogène.
L’espace aquatique des émotions piégées sous forme électronique, est, chez les pythagoriciens, structuré sous une forme dodécaédrique (12 faces pentagonales). Cette structure conduit à la formation, au sein de la macromolécule d’eau vivante, d’un gigantesque réservoir d’électrons-émotions qui vont devoir être libérés plus tard dans la terre pour délivrer un enseignement de connaissance H0 destiné à être remonté jusqu’à l’élément éther.
Et ainsi de suite, le sens de circulation des éléments dans leur génération éther-feu-terre-air-eau est alors bouclé.
Par conséquent, ce qui touche notre personnalité appartient aux royaumes de l’air et de l’eau et perdure après la mort. Ces espaces du mental et de l’émotionnel sont tout à fait séparés de notre corps physique de créature et de notre comportement éthérique qui appartiennent au royaume de la terre, et qui meurent à la fin de notre vie. Notre personnalité est donc distincte de notre être souverain qui appartient aux royaumes du feu et de l’éther, et qui vit dans un continuum éternel en s’enrichissant au fil des expériences jouées par la créature à laquelle il est relié.
Mais est-ce bien ainsi que l’histoire de notre monde sociétal a construit ses différents royaumes ? Certes non, comme nous allons le rappeler.
Et comment s’est établie la personnalité juridique, portée par le nom et le prénom de chaque être humain, en regard de la personnalité de l’individu au fil des siècles ?
Depuis au moins 35 siècles, un être humain est uniquement identifié par sa personnalité. Sa souveraineté lui a été enlevée, ce qui équivaut à une forme de mise en esclavage, appelée « fraude au nom véritable ». En effet, chacun ne devrait-il pas connaître le nom de son Créateur souverain associé à celui de son Architecte concepteur, et les rencontrer de façon intime, puisque l’histoire de la conscience nous montre effectivement qu’il y en a un, propre à chacun ?
La mise en esclavage des êtres humains par la fraude au nom a en fait débuté juste après la fin de la XVIIIème dynastie égyptienne quand les fondements de la religion hébraïque se sont mis en place. Comme nous l’avons amplement relaté dans l’ouvrage « La Bonne Nouvelle », est apparue à ce moment-là une déviance de la spiritualité initiatique du culte solaire apportée et prônée par les pharaons noirs issus de la Nubie (A.Y., Akhenaton et Toutankhamon), pour la réduire à une religiosité qui sera appelée plus tard hébraïque. Les êtres ont réellement perdu les clefs du passage pour se relier à leur Créateur et à leur Architecte, donc les clés de leur royaume de souveraineté. En échange, ils se sont laissés asservir par un système fallacieux conçu par quelques dominants, et il perdure encore depuis.
L’identification à la simple personnalité par les nom et prénoms de tout être humain s’est poursuivie, soit dans la branche romaine qui sera associée par la suite au monde chrétien, soit dans la branche judaïque reliée plus tard à la Kabbale.
Dans une Europe romaine forte et très administrative, cette identification s’est renforcée à la création de l’Eglise catholique et du Vatican en 325, les souverains royaux du monde terrestre détenant les corps et les personnalités (parfois même dans un statut réel d’esclave), les âmes étant alors détenues par l’Eglise.
Là où l’esclavagisme a pris une tournure financière de servitude à vie, c’est lorsque la personnalité de chaque être est passée dès la naissance sous contrôle financier des banques. Cela s’est institué sous la période des templiers français (créés en 1119). En effet, l’Angleterre, l’Espagne et le Vatican ont cherché à prendre respectivement un royaume chacun, pour finalement contrôler les populations du monde entier :
1- l’Angleterre prenait possession du royaume maritime ;
2- l’Espagne prenait possession du royaume terrestre ;
3- le Vatican prenait possession du royaume de l’air.
Certains des Templiers les plus purs, guidés par leur Grand Maître Bertrand de Blanchefort, refusèrent en 1163 la montée de cette servitude sur l’humain. Ils créèrent l’ordre souterrain des Cathaugues en provoquant un schisme majeur au sein de l’Ordre du Temple (cf. « La Bonne Nouvelle, vol.1 » p.426, 2019, Editions Croix du Salut). La France allait être effectivement temporairement absente dans la mise en place initiale de cet esclavagisme de la personnalité séparant encore plus l’être de sa souveraineté véritable. Elle se rattraperait plus tard…
Les deux courants historiques d’esclavagisme financier de l’humain, rassemblant la Kabbale d’un côté, et les Templiers de l’autre, se sont unis en Suisse en 1291. A partir de là, l’établissement de trois Couronnes sur Terre s’est avéré effectif, au sens juridique et administratif. Chacune d’elle a conduit en un droit contrôlant la personnalité d’un être humain :
- Le droit de la mer, contrôlé par le monde anglo-saxon et les Common Laws (le droit coutumier ancestral de la Terre), avec la Banque de Londres, qui gouverne les échanges maritimes et fluviaux.
- Le droit de la terre, maitrisé par l’Espagne au début, puis par l’entité juridique de Washington District of Columbia quelques siècles plus tard, avec le droit civil romain, qui gouverne le commerce mondial terrestre.
- Le droit de l’air, piloté par le Vatican, qui gouverne les âmes. L’âme d’un être humain s’est donc officiellement retrouvée « contrôlée » en 1666 dans le « Cestu Quie Vie Act » par le biais du registre des baptêmes chrétiens tenu par le Vatican, une obligation pour tout enfant avant l’âge de 7 ans.
La personnalité de l’être humain, sortie du ventre de sa mère, a été officiellement déclarée et contrôlée comme une marchandise livrée à son port d’attache familial par la Banque de Londres, exactement comme si elle était une marchandise perdue en mer, et n’étant pas revenue au port avant l’âge de 7 ans (cf. le parallélisme avec la juridiction maritime de l’Amirauté française pour les navigateurs considérés comme disparus en mer, un copier-coller de la loi romaine sur la vente et le transport des esclaves). Au niveau de l’humanité, nous avons donc tous été déclarés comme une marchandise égarée en mer pendant 7 ans ! Et pour que la marchandise soit légalement reconnue, il fallait attendre ces 7 ans.
A ce moment-là, notre personnalité, par présomption, devenait propriété de l’Etat terrestre, comme une marchandise prête pour en faire commerce. Et idem pour notre corps dont nous ne sommes qu’usufruitiers. Jusqu’à présent, concernant notre corps et notre personnalité, nous en avons uniquement l’usage (l’usus) et le fruit (fructus). Nous ne sommes que des locataires et pas des propriétaires de ce corps et de cette personnalité ! Cela signifie bien que nous ne sommes considérés que comme des marchandises et non pas comme des sujets souverains. Il s’agirait peut être aujourd’hui de réagir face à ce déni de notre état de Créateur incarné sur Terre.
C’est à ce stade d’avancement que nous pouvons faire l’observation suivante : lorsque les pythagoriciens conduisent leurs initiations, ils ont remarqué que le premier âge où l’être peut atteindre l’état souverain de sa royauté intérieure est justement l’âge des 7 ans. Comme le droit de responsabilité de l’infans (droit de la terre espagnol en matière juridique), n’existe lui aussi qu’à partir de 7 ans, puisque l’enfant atteint l’âge de raison, et que les dégâts, dommages et fautes qu’il occasionnerait sont du ressort de la responsabilité de ses parents, il conviendrait de faire exister un droit du feu et de l’éther associé à sa reconnexion consciente à son Créateur. Les droits de la terre, ceux de l’air et de l’eau rassemblés, puis ceux du feu et de l’éther eux aussi réunis se rejoindraient à partir d’un âge particulier où l’enfant a son propre corps éthérique de personnalité de constitué.
Mais malheureusement nous n’en sommes pas encore là, puisque la personnalité de l’être humain a ensuite été complètement juridiquement verrouillée par la loi du 23 août 1794 (ou loi du 6 fructidor An 2) dans son article 1er par l’obligation suivante : « aucun citoyen ne pourra porter de nom et de prénom (écrits en majuscules uniquement), autre que ceux exprimés lors de son acte de naissance. Ceux qui les auraient quittés seraient tenus de les reprendre ». Et l’âme de l’enfant a été remise entre les mains du Pontife Romain au Vatican.
La déclaration « publique » de naissance d’un enfant à faire dans les cinq jours après l’accouchement, qui est une perte de responsabilité civile, et qui est obligatoire sous peine pénale, est en réalité un contrat fiduciaire privé établi avec la société qui gère l’Etat de naissance de l’être.
Oui, vous avez bien entendu : la République Française est, comme toutes les autres nations citoyennes de ce monde, une société privée, et non une entité publique visant au bien de ses administrés. Cette société est ainsi déclarée en France avec un numéro d’immatriculation commercial : la République Française avec sa Présidence, 55 rue du faubourg St Honoré 75 008 Paris, SIREN/SIRET FR15100 000 017, code INSEE/APE : 8411Z, a été créée le 16 janvier 1947 par un prêt à la BRI, la Banque des Règlements Internationaux initiée depuis 1931 par le Vatican. C’est une entreprise comprenant entre 500 et 999 salariés. Idem pour la Cour des Comptes et pour le gouvernement du Premier Ministre qui sont aussi des sociétés commerciales.
Ce contrat de fiducie, ou trust normalement loyal et consenti, transfère le bien, ici l’enfant devenu citoyen bénéficiaire, à un Etat de droit exécutant qui devrait agir en tant que tiers de confiance pour le bien du bénéficiaire, mais qui est en réalité une société privée gérant des esclaves. Le poids de l’enfant inscrit sur le certificat d’accouchement est utilisé pour calculer sa valeur marchande via le cours de l’or. L’enfant est, dès sa naissance une créance, un titre nominatif que le Trésor Public utilise comme caution pour obtenir des prêts sur les marchés financiers. L’enfant est vendu sous la forme d’un UCC (Code Commercial Uniforme) à la Banque Mondiale et à l’Union du Commerce Mondial. Il devient crédit de la Nation, et l’Etat va miser sur lui, jouer en bourse avec lui, s’endetter, etc.
Il s’agit donc bien d’un esclavage à vie quand le but n’est pas supérieur à la personne, et qu’il ne concerne pas l’être dans toute sa souveraineté. Ainsi la personnalité de chaque individu est enregistrée dès la naissance « tout en majuscules » comme le sont toutes les entreprises et sociétés.
Le contrat de naissance oblige de force l’enfant, contre son consentement éclairé, à rentrer immédiatement dans un système de droits et de devoirs civiques, appelé « droit positif ». Le constituant du contrat, qui est le père ou la mère de la fiducie réalisée par l’acte de naissance, est le parent qui le déclare à la mairie à l’officier de l’Etat Civil.
A partir de là, la personne juridique va se retrouver écrasée, dès le stade du nourrisson, par 8 couches juridiques superposées de « l’Etat de Droit », sauf si elle exerce un rescrit administratif (une question administrative posée à une autorité demandant obligation de réponse, sinon l’autorité revient au porteur du rescrit) en lettre recommandée pour en sortir :
1/ Les actes administratifs, préfectoraux, ministériels et municipaux
2/ La jurisprudence
3/ Les décrets et arrêtés
4/ Les ordonnances gouvernementales
5/ Les lois et règlements
6/ Les normes internationales (bloc conventionnel)
7/ Les normes constitutionnelles (bloc constitutionnel)
8/ Les droits de l’homme
Comme jusqu’à présent la personne juridique est une marchandise sans âme plongée dans un système d’argent dette tout le temps déficitaire (ex de la dette française actuelle de 2 700 milliards d’Euros), l’OPPT (One’s People Public Trust, voir le parallèle avec le leit-motiv « When We Go One, We Go All » de John Fitzgerald Kennedy ; WWG1-WGA) a déjà réussi la prouesse juridique de faire acter ce système d’esclavage comme illégitime depuis le 25 décembre 2012.
En effet, le système terrestre ayant été jugé forclos et limité au niveau de ses ressources, et la personnalité étant décrite comme une fiction, et non comme un être humain doué de conscience, d’esprit et de sentiments, tout comme il est fait de chair, d’os et de sang, c’est l’entièreté du système qui a été rendue illégitime.
Cependant, les banques et les gouvernements se sont bien gardés de prévenir leurs esclaves qu’ils étaient libres, et que les chartes des gouvernements et des banques étaient abrogés depuis 2012 !
Alors la question centrale est ici posée à tout un chacun : « Souhaitez-vous être des citoyens appartenant à cet organisme privé appelé République, qui gère commercialement des esclaves depuis des siècles dans de prétendues démocraties illusoires, ou bien, souhaitez-vous vous constituer en nation indépendante qui protègerait votre souveraineté au plus haut point ? »
Finalement, jusqu’ici, en Droit, l’être humain n’existe pas ! Mais la loi est-elle écrite par des hommes ou des femmes, ou bien l’est-elle par les Créateurs de ces hommes ou femmes ?
Or jamais un Créateur ne se soumettra à sa création. En conséquence, il convient de modifier les droits de l’homme tels que connus pour faire émerger un nouveau droit souverain en sortant du faux consentement initial donné à la naissance. C’est à chacune et chacun de vouloir sortir de la mise en esclavage programmée de l’être humain devenu une marchandise, et ceci dès le stade embryonnaire. Car la très récente loi de bioéthique du 28 juillet 2020 fait maintenant de l’enfant un bien de consommation dès 21 jours de vie, avec autorisation des expérimentations scientifiques sur les plus de 150 000 embryons français congelés qui n’ont plus de projet parental, et ceci aux fins de fabrication d’organes humains ou de sous-produits biologiques effectués par des apprentis sorciers.
Ce qui choque surtout dans cet assujettissement de la personnalité de l’enfant, au-delà de son rattachement à un Etat censé être protecteur de lui comme son bien le plus cher (même si ce n’est pas le cas dans la réalité), c’est toute l’organisation de l’Etat et des finances autour de son sujet qui est sans aucun doute à revoir, en prenant cette fois-ci en compte la totalité de l’être souverain.
Et comme le dit très bien en substance l’évangile de Thomas, le Royaume du Créateur n’est pas de ce monde, même si le Créateur vit dans ce monde.
Si les femmes et hommes politiques actuels avaient conscience de leurs véritables rôles, tels que définis à l’origine de la création du grade de Politikoï pour les initiés de l’école pythagoricienne, c’est-à-dire d’être des maîtres en philosophie, le problème changerait tout de suite de dimension.
En effet, l’Etat Nation Indépendant et Souverain, essentiellement composé de cette élite de sagesse philosophique, appelée Sophicratie® (cf. ouvrage « Passeur d’âme » Editions Exergue, groupe Trédaniel, et « La Bonne Nouvelle, vol. 1 et 2 », 2019, Editions Croix du Salut), serait relié à des experts séniors eux aussi indépendants et sans conflits d’intérêts dans chacun de leurs domaines, puis ensuite à une couche de corporations ou de métiers aptes à se structurer en intelligence collégiale avec leur environnement, puisque toutes et tous sont en interaction entre eux.
Et de cette façon, l’Etat, vu cette fois-ci comme la réunion des consciences créatrices œuvrant pour un réel bien-être et un art de vivre sacré, pourrait librement fonctionner en étant au service premier de l’humain dans cette connexion à son être souverain en lui-même. Cela permettrait à chacune et chacun d’atteindre un accès à l’éveil et à la sagesse par l’initiation individuelle, et de l’entretenir par de saines hygiènes de vie naturelles.
Comme nous l’avons déjà évoqué précédemment, l’expérience d’accompagnateur en initiations ésotériques philosophiques pythagoriciennes met en évidence le fait suivant : l’atteinte de sa souveraineté ne peut raisonnablement s’envisager qu’à partir de 7 ans lorsque l’enfant sort de l’aura protectrice de ses parents. En effet, cette reliance à son état souverain présuppose d’avoir atteint en chemin, lors de ce voyage initiatique, son véritable enfant intérieur joyeux, puis son complémentaire intérieur afin de pouvoir fusionner avec lui ou elle.
Il s’agit d’un pré-requis essentiel pour prétendre atteindre les rives de son âme dans le soleil, et enfin celles de son Créateur personnel dans le trou noir solaire. A partir de là, le royaume d’architecture fondateur premier se révèle, et l’être découvre avec le même émerveillement la source d’amour d’où il provient. La souveraineté vraie est alors atteinte, celle qui conduit à exprimer son véritable libre arbitre (post#3). Elle s’entretient ensuite grâce à la notion de responsabilité de chacun dans la conscience d’un lien respiratoire très simple reliant la créature à son Créateur (post#2), celui du souffle de l’Esprit Saint. L’obéissance à l’autorité de son Créateur (post#1) s’installe ensuite de fait. Elle génère la confiance, la sureté et la sécurité (post#4), et ainsi une autre façon de voir la vie avec amour, amitié et compassion (post#5).
Ce n’est qu’à partir du vécu de cette initiation aux résultats mesurables et comparables entre êtres humains, puisque constante de fonctionnement des lois de la nature humaine, que le droit du feu et de l’éther peut entrer en vigueur. L’être est alors capable de délivrer le baptême par le souffle de l’Esprit saint aux autres frères et sœurs qui l’entourent.
Le droit de l’air et celui de l’eau, reliés au statut de la personnalité limitée, celle qui est commercialement engagée dès la naissance dans ce contrat de fiducie, doivent donc tout faire pour favoriser les droits premiers du feu et de l’éther autour du bien-être et de l’art de vivre, tout en préservant le droit de la terre relié à la santé de la créature qui expérimente le monde de la responsabilité terrestre. Ces deux mondes doivent absolument éviter de s’en remettre à un droit de l’air de nature religieuse, ou à un droit de l’eau de nature émotionnelle, psychique ou chamanique, qui ne sont temporairement utiles que pour cadrer celle ou celui qui voyage sur Terre sans avoir encore retrouvé sa véritable souveraineté.
Ce n’est qu’à partir de la mise en place d’une souveraineté recouvrée que nous pourrons engager la première étape d’un nouveau droit positif à mettre en place, les droits de l’homme Créateur-créature.
Mais ceci est une prochaine histoire….
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