Pour trouver les sens des maux, cherchez peut-être l’essence des mots.
Quel est le mode de fonctionnement de notre système sociétal actuel en France, tout comme dans la majeure partie des pays industrialisés de notre planète ? Au-delà de le nommer par un qualificatif du type République démocratique, nous pouvons le caractériser comme celui d’une société de contrôle favorisant le mal-être, qu’il s’agisse d’un contrôle sous la forme d’une bataille pour le contrôle des pensées, des paroles et des actions, pour le contrôle des populations. Et ceci est vrai, autant dans les phases d’entrée et de sortie de la vie d’un être humain, que concernant ses besoins de base au cours de l’existence.
En effet, force est de constater que notre système de société a acquis au fil du temps un niveau de raffinement inégalé dans l’histoire humaine en matière de contrôle générant du mal-être, voire la destruction de son espèce. Il accélère sa manœuvre d’extinction de masse des humains et des autres espèces comme jamais, aidé en cela par l’accroissement de la population mondiale (x6 en 100 ans) et par l’accroissement du niveau technologique (x600 en 100 ans).
Comment en sommes-nous arrivés là ? Observons les personnalités des élites dirigeantes, qu’elles soient politiques, financières ou industrielles dans leur type de manifestation de pouvoir. Déjà, en premier lieu, il est bon de remarquer que les dirigeants actuels fonctionnent dans un mode de pouvoir très « cerveau gauche » (cortical et limbique). Les plans de conscience qu’ils atteignent généralement au quotidien, appartiennent au monde des archétypes contenant les concepts mentaux non sortis de la dualité terrestre. Ce sont des plans dans lesquels nous trouvons les idéologies politiques et humanistes, les religions dans leur totalité, les lois morales et éthiques, les valeurs.
En privilégiant ce mode « cerveau gauche », les élites cherchent à contrôler les personnes ayant une préférence cérébrale de type « limbique droit émotionnel » dominant et les personnes de type « cortical droit » exclusif qui sont, par leur côté créatif et non spécialement Créateur, coincés dans la dualité terrestre des mondes émotionnels dits de l’astral. Il est important de rappeler que pour quelqu’un de formaté et d’enfermé dans les plans de conscience mentaux, avoir devant lui quelqu’un manifestant les plans de conscience astraux est quasiment insupportable.
De l’observation des philosophes pythagoriciens d’aujourd’hui, rares sont ceux qui arrivent à envisager de fonctionner avec tous les hémisphères de leur cerveau de manière complète en étant reliés dans un aller-retour Créateur-créature dans cet axe vertical sacré, et ancrés par une respiration du souffle de vie qui, rappelons-le, est pourtant de leur responsabilité (post#2). Encore plus rares sont ceux qui obéissent à leur autorité première, finissant même par être en soumission à de fausses autorités (post#1). Et encore moins sont ceux qui utilisent le seul libre arbitre de leur Créateur, au lieu d’être dans l’illusion en utilisant leur libre arbitre mental ou émotionnel (post#3). Alors de là à manifester vraiment amour, amitié et compassion (post#5), il y a là un sacré un gouffre.
Observons donc les mécanismes de pouvoir existant de nos jours et installés patiemment par quelques familles dirigeantes fortunées au moins depuis un bon siècle.
Les mécanismes de fonctionnement de la société française
« La guerre des mots, avec naguère celle des mots chargés de sens, et aujourd’hui avec celle des maux dans l’indécence ! »
Le contrôle des pensées s’est exercé de tous temps, autant dans les plans de conscience astraux ou émotionnels que dans les plans mentaux.
Dans les premiers, nous pouvons observer un enfermement des êtres dans les plans de conscience des désirs, des projections, des illusions émotionnelles. Par les mécanismes publicitaires, par l’entretien des dépendances émotionnelles, qu’elles soient sexuelles, alimentaires (sucre, sel, chocolat, lait, café et neuro-excitants, colles alimentaires, produits industriels), ou par le biais de substances créant des addictions (alcool, tabac, drogues, médicaments entretenant les dépendances), les êtres humains vont se retrouver dans des mécanismes entretenant les dépendances. Et force est de constater de nos jours que ce n’est pas l’univers limité de la psychologie qui va les aider à s’en défaire.
Dans les seconds, nous pouvons observer un enfermement des êtres dans des plans de conscience mentaux spécifiques, soit en refusant les options du pouvoir en vigueur (exemple : les militants rebelles à l’autorité étatique), soit par ignorance et soumission à l’autorité en acceptant les diktats proposés. Ainsi, par des processus de gavage de cerveau, de reprogrammation, de manipulation sectaire (exemples du projet des U.S.A. nommé MK Ultra ou de projets à visée sataniste), par des films ciblés et calibrés pour agir sur les mécanismes d’entretien de la violence, les humains vont se retrouver piégés dans un monde luciférien (un monde de fausse lumière, manifesté sous la forme de vortex d’information toriques lévogyres appelés vérités relatives, cf. post#7). Et ce n’est pas l’univers limité de la psychiatrie qui va les aider à en sortir.
Le contrôle des paroles s’exprime de six façons différentes dans notre société. Il est aisé d’en voir aujourd’hui plus que jamais la triste expression. Par le contrôle :
des médias télévisuels, audiovisuels, de la presse écrite sur support papier ou numérique, des ouvrages des auteurs, des éditeurs, des journalistes, des conférenciers, des libraires,
des dispositifs d’éducation dans l’enseignement public et privé,
des dispositifs de formation,
des dispositifs religieux, comme de toute autre voie spirituelle,
des partis politiques et des syndicats,
la parole est muselée dans l’espace public.
Le contrôle des actions s’exprime quant à lui de cinq façons différentes. Par les dispositifs ou procédés :
de surveillance et de contrôle à tous niveaux (Armée, Police, Services de renseignements, Banques, Assurances, Administrations étatiques),
de baisse de l’immunité naturelle des êtres humains et de propagation des maladies (processus d’immunité artificielle, propagation de virus ou d’exosomes, de bactéries, de levures, de champignons, de médicaments toxiques, avec une médecine dominante purement mécaniste et déshumanisée),
d’aliénation servile au travail pour des multinationales ou des grands groupes industriels,
d’élimination des personnes gênantes pour le pouvoir dominant,
d’endormissement dans le confort en créant des produits de société superflus fabriqués à bas prix à l’autre bout du monde par les grands groupes issus des lobbies agroalimentaires, pharmaceutiques, militaro-industriels et des énergies fossiles, eux-mêmes dirigés par des actionnaires et des financiers,
l’Etat s’assure que les actions existantes obéissent bien au cadre idéologique dominant, un cadre artificiel sans aucun rapport avec les lois de la nature humaine.
Un des exemples les plus flagrants de l’exercice de ce contrôle des actions peut s’illustrer par l’existence de groupes ou de milices contre-révolutionnaires à l’opposé du système politique en vigueur, pour mieux maitriser les éventuels groupes opposants et dissidents à l’oligarchie au pouvoir. Par l’action directe des services de renseignements et d’armée, par les assassinats et attentats calibrés dans leurs effets, dans leur chronométrie, par les tortures et séquestrations, la peur de désobéissance est profondément véhiculée jusque dans le tissu social (film de Naomi Klein, « la stratégie du choc »). Les processus de contre révolution et d’attentats sous faux drapeau (nommés aussi en anglais « black ops » ou « psy ops ») sont aujourd’hui un atout majeur pour des régimes totalitaires voulant faire passer leur propre idéologie à n’importe quel prix. Ils offrent en effet pour eux six avantages majeurs :
le premier est de tenir la population de son propre pays autour d’un système et d’un idéal (comme par exemple l’idéal d’un peuple supérieur et donc « élu »), offrant une polarisation indispensable à toute oligarchie,
le second est de faire taire toute opposition interne au sein de son propre pays,
le troisième est de créer un ennemi ailleurs, réel ou non, contre qui lutter, afin de déployer ses forces militaires, économiques et idéologiques, qui sont respectivement les trois formes de pouvoir, celui de la force, de l’argent, du savoir. C’est une façon de posséder un pays de l’intérieur, de capter ses ressources en énergie, sans avoir besoin d’échanger commercialement avec lui. Cela permet aussi de dévier l’attention sur des problèmes internes pour les focaliser vers un ennemi extérieur au pays,
le quatrième avantage pour eux est de décimer une partie de la population, les plus faibles, les plus démunis, les plus malades, et surtout les plus dérangeants pour le système,
le cinquième avantage est de relancer artificiellement une économie dans un sens de contrôle accru,
le sixième est de pouvoir s’enrichir rapidement en œuvrant pour le lobby pharma-chimico-militaro-industriel et ses dérivés sécuritaires.
Bien entendu, ils ont aussi quatre grands inconvénients, dont trois d’entre eux ne sont pas gênants pour une oligarchie en vigueur. Par les sacrifices en vies humaines un peu au hasard au sein de son propre pays lors de ces attentats sous faux drapeau, par les grands génocides rapides dans les pays extérieurs, par la destruction accélérée des écosystèmes et de la nature, ils introduisent une injustice profonde de nature à meurtrir durablement les peuples. Le seul inconvénient réel pour une oligarchie en place est celui que nous vivons aujourd’hui, celui d’être au final découvert dans ses stratégies et dans la planification cynique de telles opérations noires. En effet, à long terme, la destruction du système de conspirateurs ou de comploteurs qui a généré ces processus de contre-révolution est inévitable. Ceux qui ont fait passer leurs pseudo-adversaires pour des conspirationnistes ou des complotistes en sont alors pour leurs frais.
Le contrôle des populations s’exprime quant à lui par le biais des quatre types de carapaces que peut avoir un individu. En effet, par un management de la peur, il est facile de tenir un peuple aux abois en organisant par exemple des attentats ciblés, afin de diriger efficacement un troupeau de moutons-pigeons (« mougeons ») ou de moutons-autruches (« moutruches ») là où les dirigeants souhaitent les amener. Par le jugement, la honte ou l’humiliation, par la discrimination arbitraire et sectaire, il est aisé de mater un peuple et de le couper définitivement de sa partie divine souveraine (post #7). Par un modèle de société illusoire véhiculé de façon hypnotique par des médias propagandistes complices et non plus journalistiques, comme celui de la soi-disant démocratie républicaine, il est facile d’endormir un peuple de plus en plus ignorant et rendu incapable de discernement. Par la projection d’énergie, surtout celle qui existe en matière de sexualité, il est subtil de canaliser chaque être dans la population. En effet, par la propagation de la dépravation sexuelle, en évitant soigneusement d’expliquer à l’homme son potentiel de fonctionnement sexuel naturel et sacré, à savoir qu’il fait partie de la seule espèce sur cette planète à vivre trois pubertés et à posséder deux circuits de sexualité dans le corps, le contrôle des peuples s’exerce et se régule tout seul (cf. texte de la Genèse Biblique commenté en annexe d’Objectif Bien-être, de Passeur d’âme® ou dans le volume 2 de La Bonne Nouvelle).
Le contrôle des phases d’entrée et de sortie de la vie existe par une surmédicalisation, là où la poésie et l’accompagnement sacré type Passeur d’âme® devrait être au cœur du métier. Par un contrôle médicalisé de la naissance dans les pays occidentaux tels que la France, la véritable compétence pour accompagner des femmes désireuses d’accoucher dans un processus d’autonomie à la naissance naturelle a peu à peu disparu du Corps des sages femmes et des gynécologues obstétriciens. Parallèlement, par un contrôle essentiellement psychologique des processus de décès, y compris dans les services de soins palliatifs, la compétence si essentielle des Passeurs d’âme® dans ce passage ultime y est elle aussi absente.
Le contrôle extérieur des besoins de base d’un individu existe à tous les niveaux de l’échelle des besoins d’un être humain définie par Abraham Maslow. Par le contrôle des modes de survie, des modalités de sécurité physique ou psychologique, des appartenances et des identités, des processus de reconnaissance sociétaux, par le contrôle des différentes façons de se réaliser, par la mainmise sur les buts et modalités de la vie, l’être humain devient définitivement un prisonnier cadenassé dans une façon de vivre qui lui est subtilement imposée.
Au final, nous obtenons en fait un gouvernement totalitaire de la foule manipulée par ses opinions incohérentes avec les lois de la nature humaine. Or c’est justement la définition de l’ochlocratie donnée par Aristote dans « La Politique ». Le seul ajout que nous pouvons faire est que ce contrôle des pensées, des paroles et des actions des populations des Etats du monde s’exerce par une petite classe dominante. Elle est constituée d’hommes et de femmes de grandes entreprises, de banques ou de gouvernements (oligarchie) agissant dans leurs seuls intérêts, avec en arrière plan, soit une idéologie d’extrême droite fondée sur un nationalisme belliqueux (un fascisme), soit une idéologie mondialiste dominée par quelques milliardaires de la finance. Pour les femmes et les hommes de pouvoir, l’intérêt majeur de décréter des critères arbitraires non fondés sur des lois de fonctionnement naturelles et universelles est de permettre d’éloigner chaque être de sa véritable nature et de sa liberté première, celle d’être un Créateur divin incarné venu avant tout pour aimer, créer et connaître dans ce monde de dualité.
Les modèles politiques de société auxquels l’humanité actuelle s’est confrontée jusque là n’appartiennent donc qu’à deux catégories :
Les modèles existants dans notre réalité du style oligarchies, théocraties, royautés, messianismes (combinaison entre royauté et théocratie), ochlocraties, anarchies ou tyrannies,
Les modèles utopiques du style démocraties, démosophies ou autres utopies.
Depuis au moins 50 siècles, la planète n’a connu que des modèles politiques faisant partie de la première catégorie. Cette dernière a fait montre autant de manifestations guerrières et destructrices bien connues, que d’injustices sociales et autres effets pervers de pouvoir, que ces modèles politiques agissent au nom d’une idéologie, d’un corporatisme, d’une religion ou d’une royauté.
Dans la seconde catégorie de modèles, la démocratie est un système illusoire et contraire aux lois de la nature humaine. Voyons comment les êtres humains ont été entretenus dans l’hypnose de ce mode de fonctionnement illusoire et devenu aujourd’hui obsolète. Déjà, il n’est pas possible de donner le pouvoir de gouverner à un peuple indifférencié (démocratie = gouvernement par le peuple). Donner le pouvoir à des êtres qui ont des niveaux de conscience très différents n’est pas viable à moyen terme, tout simplement parce qu’ils sont de degrés initiatiques différents. Avec immanquablement des façons différentes de voir, certaines personnes, regroupées en minorités, vont chercher à promouvoir leurs idées limitées aux dépends des avis des autres. Il y a, et il y aura toujours des élèves de toutes les classes à l’école de la vie. De surcroît, il est encore plus illusoire de penser que les élèves des petites classes, c’est-à-dire les plus inconscients du système, puissent gouverner le système tout entier. Et pourtant, c’est ce qu’il nous est, de toute évidence, donné de voir aujourd’hui.
L’expérience philosophique pythagoricienne montre que dans les plans de conscience, tout comme sur Terre, il existe des niveaux hiérarchiques bien déterminés dans les consciences créatrices, des niveaux qui peuvent être répertoriés de la façon suivante :
Les néophytes qui « profitent de la vie ». Ils concernent par exemple, selon nos estimations mesurées depuis plus de 19 ans, 95.4% de la population française (avec des lois sociétales artificielles, déconnectées de la nature humaine, du style de celles qu’on retrouve dans les oligarchies, théocraties, royautés, messianimes, ochlocraties, anarchies ou tyrannies. En France, comme nous venons de le voir, notre système est peu à peu devenu celui d’une ochlocratie mondialiste ou d’une oligarchie totalitaire basée sur l’arbitraire d’un mondialisme incompatible avec les lois de la nature humaine).
Les akousmatikoï qui « s’interrogent mentalement sur le sens de la vie et de sa vie ». Ils concernent environ 4.39% de la population française selon les mêmes estimations (avec des lois sociales humanistes et des altermondialismes utopiques, déconnectés eux aussi des lois de la nature humaine).
En d’autres termes, si l’on s’appuie sur la conscience de 99.79% de la population française, il n’est pas possible d’obtenir un système politique qui soit vraiment en accord avec notre construction spirituelle de Créateur relié à une créature dans un objectif de bien-être et d’art de vivre sacré. Ce n’est qu’aux niveaux initiatiques supérieurs que l’on peut trouver les premières véritables conditions de fonctionnement social équilibrées et harmonieuses.
L’œuvre initiatique d’éveil au véritable bien-être durable et global sans contreparties négatives pour soi et pour son entourage met clairement en évidence sur un plan expérimental que les agissements des plus violents et des plus destructeurs n’ont aucune chance de franchir la barre des plans de conscience conduisant à l’âme ou au Créateur de chacune et chacun. Comme nous le constatons tous les jours en guidant les Amis dans leurs initiations, la vie sur Terre est au final une école de l’amour, certainement pas une école du pouvoir. Le pouvoir de l’amour est d’une toute autre dimension que l’amour du pouvoir.
Dans les niveaux initiatiques supérieurs nous trouvons maintenant :
Les initiés qui manifestent leur petit enfant intérieur, et qui sont reliés à leur opposé intérieur, à leur âme, à leur Créateur, et à leur Architecte dans une « Œuvre initiatique ésotérique de verticalisation », celle des apprentis Mathematikoï. Ces adeptes du « Connais-toi toi-même » concernent 0.2% de la population (découverte des lois de la nature humaine), soit 130 000 personnes environ.
Les Passeurs d’âme®, des compagnons Sebastikoï initiateurs effectuant une « Œuvre initiatique ésotérique de découverte du monde, et de connaissance». Ils représentent 0.009% de la population française (lois de la connaissance), soit 5850 personnes.
Les premiers niveaux de politiciens véritables étaient, dans le passé de l’école pythagoricienne, des maîtres Politikoï bâtissant une « Œuvre initiatique ésotérique de service au monde ». Ils ne représentent guère plus, selon nos estimations, que 0.0004% de la population française (relié aux lois sociétales naturelles), soit 260 personnes.
Les derniers grands maîtres Cosmotikoï étaient considérés comme des architectes cosmiques manifestant l’« Œuvre d’accomplissement du Créateur galactique ». Ils ne représentent guère plus, selon nos estimations et celles de Jean-le-Baptiste le Nazoréen dans le logion 23 de l’évangile de Thomas (cf. ouvrage LA BONNE NOUVELLE Vol.2) que deux par dix millions de la population, soit 13 personnes en France (reliées aux lois de l’univers).
Autrement dit, en France par exemple, il n’est possible de créer un nouveau modèle de société qui soit viable et bénéfique pour la plupart qu’avec les 260 amis de la sagesse les plus aguerris aux lois de la nature, de la connaissance et de la société. C’est bien cette élite de la sagesse que nous avons rassemblée dans le modèle de Sophicratie®, et qui fait partie des cercles de sagesse que nous avons identifiés dans les Droits de l’Homme Créateur-créature (post #8), qui peut porter sur les fonds baptismaux les fondations d’un nouveau modèle de société profitable pour le plus grand nombre et tourné vers le bien-être et l’art de vivre sacré. Cette élite politique est là pour garder la suite de l’héritage pythagoricien, un idéal loin d’être utopique celui-là, puisqu’il a quand même vu se réaliser pendant presque 35 ans une quarantaine d’éco-villages. Et c’est sur ce modèle de Sophicratie® que sont basés les prémices du système politique que nous avons affinés de nos jours.
Il n’existe donc qu’une possibilité pour qu’un système politique viable voie le jour : une Sophicratie®, un gouvernement par une minorité d’amis de la sagesse tournés vers la dimension d’amour, vers les lois de la nature (Physis), et vers la compassion véritable.
Ce système est par nature viable et possible.
Le terme « Sophicratie » a été déposé à l’INPI sur la base de la suite des aventures de la XVIIIème dynastie égyptienne des pharaons du culte solaire (base spirituelle de la tradition hébraïque), de l’école pythagoricienne (base spirituelle des franc-maçonneries mondiales), de l’expérience nazoréenne autour de Jean-Baptiste (base spirituelle du christianisme). Il est amplement décrit dans l’ouvrage « La Bonne Nouvelle Vol.1 », aux éditions Croix du Salut.
Bien évidemment il convient d’avoir un outil neutre pour mesurer les niveaux de sagesse mis en pratique. Et c’est là toute la force de l’outil philosophique pythagoricien que nous manions depuis presque 20 ans maintenant, celui d’être une méthode précise, accomplie et universelle de « passage sous la toise » pour effectuer cette mesure si cruciale, reflet du niveau de sagesse atteint par tout un chacun.
Malheureusement ces sociétés vivantes expérimentées du temps de Pythagore pour tendre vers ce nouveau paradigme, n’existent plus sur Terre. Elles demandent un temps assez long pour s’implanter car il est nécessaire de favoriser l’émergence d’écoles initiatiques de sagesse aidant les sœurs et les frères à s’éveiller, à manifester le bien-être et l’art de vivre véritables pour bâtir les nouveaux systèmes de communication et d’organisation, les nouvelles créations et les nouveaux modes de vie.
Augurons que quelques financiers éclairés par le souci du bien commun viennent au chevet d’une humanité vivant actuellement sa phase d’apocalypse ou de révélation, pour proposer des moyens concrets afin de passer à une autre époque, celle où l’amour redeviendra le centre de l’expérience humaine. Si c’est le cas, nul doute que les Pythagoriciens initiés se feront une joie de participer à cette aventure !
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