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Perle Philo. #12 Réalité ou virtualité : des faux souvenirs induits à la connaissance juste


Pour décrire de façon totalement exhaustive le réel du virtuel, rien ne vaut la lecture du tout début du texte sacré des Yogas Sutras de Patanjali en sanskrit, un texte dont la première datation semble venir de – 700 av. J.-C.

En effet, au chapitre I dès le 6ème sutra, il est dit que les modifications du mental qui permettent cette distinction entre le réel et le virtuel ne sont qu’au nombre de cinq :

Connaissance juste, connaissance erronée, fantaisie de l’imaginaire, sommeil et mémoire (ou souvenir).


Voyons en premier les définitions possibles de ces 5 états du mental.

1- La connaissance juste est l’acquis de sagesse d’une vérité absolue éprouvée, soit par l’expérience sensorielle, soit par une inférence logique indiscutable, soit par le témoignage positif issu d’une révélation de connaissance juste faite par un tiers. Son état logique est d’être vrai.

2- La connaissance erronée est une cognition illusoire basée sur une forme qui ne lui appartient pas. Son état logique est d’être faux.

3- La mémoire, ou le souvenir, correspond à ce qui a été stocké lors d’un vécu sensoriel. Son état logique peut être autant vrai que faux, autrement dit réel ou artificiel. Seule la connaissance rattachée à cette mémoire peut être vraie ou fausse.

4- L’imaginaire est un état de connaissance par les mots, les images, qui est sans objet réel. Son état logique est d’être faux.

5- Le sommeil est un état où le support d’expérience du mental est absent, ce qui n’est pas le cas dans le rêve qui est imaginaire ou dans la vision qui a une base de départ mémorielle.


Voyons en second comment discerner le vrai du faux sur les trois premiers états du mental, puisque pour les deux suivants c’est déjà bien défini dès le départ.


Concernant la connaissance juste, le corps en contient la mémoire énergétique, la psyché en a la mémoire émotionnelle et mentale. Mais comment être certain de discerner le vrai du faux, quand on connaît dans notre société les processus de contrôle des émotions par enfermement respectif dans les plans de conscience des désirs, des projections et des illusions émotionnelles, et les processus de contrôle du mental créés pour canaliser l’opinion publique au bénéfice des oligarchies qui nous gouvernent ? Comment être certain, au-delà des pensées et des émotions, de discerner aussi le vrai du faux des paroles, des comportements et des actes ?

L’apport des résultats convergents de la philosophie initiatique pythagoricienne nous renseigne utilement sur la réponse à ces deux questions fondamentales. Par le rituel d’initiation ésotérique à la philosophie, le corps déloge les vortex d’information lévogyres piégés qui contiennent des vérités relatives et les met en terre. Autrement dit, il libère ce qui peut être considéré comme faux. Ce qui est juste, et tourne donc en vortex dextrogyre, a maintenant la capacité de venir visiter librement le poste radio émetteur-récepteur qu’est notre corps, autant en entrée qu’en sortie. Comme décrit dans le détail dans le post 6 sur la vérité, le rituel d’initiation ésotérique à la philosophie permet ainsi la libération du vortex de connaissance véritable (appelé vérité absolue) d’une situation donnée, sans faire de travail mental, à condition bien entendu que le rituel employé évite d’utiliser un ou plusieurs des 9 mécanismes sectaires que nous avons déjà recensés dans l’ouvrage « Objectif Bien-être » (2009, éditions L’Harmattan, p.52-58). Etant donné que les rituels pythagoriciens employés ne correspondent nullement aux 8 premiers mécanismes sectaires, il reste le dernier, la normalisation des processus intérieurs, où les risques d’induction sont existants, et où l’initiateur se doit d’être vigilant pour ne pas plaquer son influence. Les autres risques d’induction existeraient si le rituel était persuasif, coercitif, prosélyte, manipulatoire, castrateur ou générateur d’une des quatre carapaces humorales prises des autres dans l’environnement (peurs, modèles du monde obsolètes, jugements, projections d’énergie), ce qui n’est pas du tout le cas ici. Ainsi, au bémol près du 9ème mécanisme sectaire qui demande d’être soigneusement évité, le danger de déviance sectaire n’existe pas dans la voie ésotérique philosophique de la Gnose.


Concernant la connaissance erronée, la psyché mentale et émotionnelle en garde une trace mémorielle, mais pas nécessairement le corps. Il s’agit d’un savoir théorique, pas d’une connaissance validée par l’expérience, puisque dans ce dernier cas le corps en garderait lui aussi une trace. Ce savoir théorique encombre plus qu’il n’est utile.


Concernant la mémoire ou le souvenir, il peut être autant connaissance vraie que fausse. Mais comment discerner le vrai du faux ? Comme un faux savoir est stocké dans un plan de conscience comportemental, émotionnel ou mental, et qu’une connaissance vraie est stockée en final dans les plans de l’âme et au-delà, là encore nous pouvons constater que seule l’initiation ésotérique va permettre de délivrer totalement le vrai du faux, puisque c’est même à la base la raison d’être de son processus de fonctionnement.


Voyons en troisième la totalité des artifices de contrôle installés dans notre société, afin de nous rendre compte s’ils sont générateurs de réalité ou de virtualité, s’ils installent des faux souvenirs induits ou bien une connaissance juste, tels que nous venons de les définir.

Par notre expertise en matière de déviances sectaires et thérapeutiques de tous ordres, une expérience patiemment acquise, principalement dans notre pratique quotidienne d’initiateurs philosophiques, mais acquise aussi pendant des années au sein d’un groupe français réunissant des avocats spécialisés sur le thème de la liberté de conscience, des sociologues des religions, des ethnologues, des historiens de la laïcité et des associations de défense sur la liberté de conscience, nous sommes en mesure d’apporter un éclairage utile en cette période d’Apocalypse-révélation sur le thème de la guerre principale qui se joue en ce moment sous nos yeux, la bataille pour le contrôle des esprits.

Abordons en premier le système politique affiché du Nouvel Ordre Mondial qui cherche à s’implanter actuellement. Il s’agit d’une ochlocratie mondialiste.

La définition de l’ochlocratie par Aristote dans « La Politique » est un gouvernement totalitaire de la foule manipulée par ses opinions incohérentes avec les lois de la nature humaine. Le but principal de l’oligarchie mondialiste est le contrôle des pensées, des paroles, des comportements et des actions des populations des Etats du monde par une petite classe dominante de grandes entreprises (oligarchie) pour leur propre intérêt avec l’idéologie d’un nouvel ordre mondial, leur intérêt étant décrété par des critères arbitraires non fondés sur des lois de fonctionnement naturelles et universelles, mais sur une vision d’un trans-humain 2.0, un cyborg censé être plus évolué que l’humain actuel.


Alors qu’en réalité l’humain dans sa version de base que nous défendons, et que nous nommerons 1.C2, n’est même pas utilisé dans ses pleins potentiels, des potentiels qui vont bien au-delà du cyborg 2.0 projeté dans le programme militaire américain de « Contrôle de l’esprit ». Ce programme lancé depuis 1974 à la suite de l’arrêt officiel du programme MK Ultra (1950-1973) par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) est un programme de surveillance, de contrôle et de commande d’individus et de foules à distance 24h/24, 7 j/7.

Voici le calendrier de déploiement du projet Mind Control visant à créer l’humain 2.0 :

2010-2015 La course aux technologies cybernétiques (création de robots de plus en plus sophistiqués dans leurs déplacements et modes d’action)

2015-2020 Création de l’avatar A de première génération, une copie robotisée de l’humain contrôlée par la pensée via une interface cerveau-ordinateur (évolution de robots domestiques androïdes pour accomplir des tâches banales du quotidien jusqu’à des robots sophistiqués qui effectuent des déplacements à notre place)

2020-2025 Création d’un système autonome permettant la survie du cerveau et son interaction avec l’environnement. Le cerveau est implanté dans un avatar B de seconde génération pour accéder à une vie élargie.

2025-2030 Transmission des 5 organes sensoriels à l’avatar B

2030-2035 Rebrain : Projet colossal de rétro-ingénierie du cerveau, avec compréhension de la conscience

2035-2040 Transfert de la personnalité sur support informatique. Début de l’immortalité cybernétique

2040-2045 Des corps composés de nano-robots prennent n’importe quelle forme apparaissant aux côtés des corps hologrammes

2045-2050 Changements drastiques dans la structure sociale. Programme d’expansion spatiale. Ere de la néo-humanité.


Le contrôle des esprits se fait à plusieurs niveaux : contrôle des émotions, des pensées, des paroles, des comportements, des actions, des populations, et des phases d’entrée et de sortie de la vie.


Contrôle des émotions :

Enfermement des êtres dans les plans de conscience des désirs, des projections, des illusions émotionnelles :

- mécanismes publicitaires hypnotiques,

- entretien des dépendances émotionnelles : dépendances alimentaires (sucre, sel, chocolat, lait, café et neuro-excitants, colles alimentaires, produits industriels), substances addictives (alcool, tabac, drogues, médicaments entretenant les dépendances), dépendances sexuelles,

- univers fortement limités de la psychologie freudienne, jungienne et lacanienne inféodés à une politique humaniste socialisante erronée,

- détection automatique d’émotions (joie, tristesse, étonnement, peur, dégoût, colère, bonheur, neutralité,..), puis analyse par intelligence artificielle pour mieux contrôler les individus par la suite.


Tous ces processus sans exception sont générateurs de connaissance erronée ou de faux souvenirs induits. Ils peuvent être dangereux à long terme pour l’être humain cherchant sa véritable nature.


Contrôle des pensées

Enfermement des êtres dans des plans de conscience mentaux spécifiques pour éviter d’autres options que celle imposée par l’oligarchie en vigueur :

- processus de lavage de cerveau, de reprogrammation, de manipulation sectaire (allant du projet MK Ultra au Cyborg 2.0 du World Economic Forum (WEF), en passant par le projet Mind control de la DARPA),

- films et hologrammes ciblés projetés dans le monde pour agir sur les mécanismes d’entretien de la violence dans le cerveau puis à l’extérieur (violence dans l’attachement, le désir exacerbé ou castré, la confusion, le trouble ou la colère),

- films, images, hologrammes, pensées, sons, vocalisations diffusés directement à l’intérieur du cerveau par micro-ondes électromagnétiques afin de fixer d’autres repères mémoriels dans les cerveaux humains,

- univers médical de la psychiatrie inféodé à Big Pharma et au lobby militaro-industriel,

- stockage mémoriel mental additionnel inséré dans le cerveau, avec changement de nomination de la réalité, inversion des vérités absolues, afin de suivre en état d’autohypnose un narratif général imposé (inversion des valeurs entre réalité et virtualité augmentée),

- fabrication de passerelles neuronales artificielles nouvelles et destruction d’anciennes créées dans le monde naturel.


Tous ces processus sans exception sont générateurs de connaissance erronée ou de faux souvenirs induits. Ils sont même très dangereux à moyen terme pour l’être humain qui cherche à conserver sa nature propre.


Contrôle des paroles

- contrôle des médias télévisuels, audiovisuels, presse écrite sur support papier ou internet,

- contrôle des ouvrages, des éditeurs, des auteurs, des conférenciers,

- contrôle des dispositifs d’éducation dans l’enseignement public et privé,

- contrôle des dispositifs de formation,

- contrôle des dispositifs religieux,

- contrôle des partis politiques et des syndicats.


Tous ces processus de contrôle sont intrinsèquement bloquants pour laisser la parole se libérer, d’autant que chacun de ces cercles médiatiques contient déjà ses limitations dogmatiques propres, autant en matière de contenus qu’en matière de contenants institutionnels formatés.


Contrôle des comportements

[grâce à une interface cerveau-machine implantée dans le crâne (implant Neuralink de Tesla)

reliée en externe à une micro-antenne greffée à la surface du crâne humain et connectée à la téléphonie 5G pour permettre de se relier au Cloud internet, aux Big Datas « sécurisés », à l’intelligence artificielle qui auto-apprend des situations de vie enregistrées, et à un giga ordinateur ayant une puissance de calcul quantique suffisante afin d’augmenter la bande passante,

et reliée en interne dans le cerveau humain à de nouveaux types de capteurs sensoriels augmentés, autant pour affiner les 5 sens ainsi que la réaction aux stimulus, que pour identifier un individu grâce à des capteurs personnels reliés à son ADN]

- contrôle interne volontaire des humeurs et des signaux de vitalité du corps (création artificielle de nausées, douleurs, sommeil, léthargie, agitation, tranquillité, température, pression, suicide),

- contrôle externe des comportements (maîtrise ou activation de foules par armes à effets dirigés, meurtres avec micro-drones de combat chargés d’explosifs programmés pour tuer les individus rebelles ou indésirables grâce à leur identifiant ADN unique, drones de reconnaissance et de surveillance de la population, adaptation aux comportements de groupe par l’intelligence artificielle),

- contrôle des émotions par capteurs nanométriques internes : paranoïa, peur, panique, confusion, désir exacerbé et répulsion sexuelle, bonheur, tristesse, colère,

- contrôle de l’accès à la mémoire vive de l’être humain, et accès à une mémoire vive RAM additionnelle artificielle.


Tous ces processus, sans exception, sont générateurs de connaissance erronée ou de faux souvenirs induits. Ils sont même excessivement dangereux à court terme pour l’être humain souhaitant exprimer sa nature propre.


Contrôle des actions

- dispositifs de commande d’actions à distance d’individus rendus cyborgs car préalablement reliés à une interface homme-cerveau-machine : contrôle total de leurs mouvements et actions, contrôle de leurs intentions d’actions par maîtrise de la zone d’anticipation du cerveau et utilisation de l’intelligence artificielle pour décision correctrice éventuelle,

- dispositifs de commande de capteurs neuronaux dans le cerveau afin de piloter des membres robotisés ayant été greffés ou des parties de son propre corps ou encore des avatars externes + dispositifs de récupération dans le cerveau d’informations en provenance de robots domestiques sous son contrôle,

- dispositifs de surveillance et de contrôle à tous niveaux (par l’armée, la police, les services de renseignements, les banques, les assurances, les administrations étatiques, et par tous les objets intelligents reliés à l’internet),

- dispositifs d’élimination des personnes gênantes pour l’oligarchie dominante : création et contrôle de groupes de milices contre-révolutionnaires à l’opposé du système oligarchique en vigueur pour mieux maitriser les éventuels groupes dissidents à l’oligarchie au pouvoir, actions directes de services de renseignements et d’armée, assassinats et attentats calibrés dans leurs effets et dans leur chronométrie (false flags ou attentats sous faux drapeau), tortures et séquestrations,

- dispositifs entretenant et propageant les maladies (vaccins, propagation de virus, bactéries, levures, champignons, médicaments, médecine purement mécaniste et aliénante),

- dispositifs d’aliénation servile au travail pour des grands groupes industriels,

- produits de société superflus dictés par les grands groupes des lobbies militaro-industriels et des énergies fossiles.


Tous ces dispositifs, sans exception, sont générateurs de connaissance erronée ou de faux souvenirs induits. Ils sont même excessivement dangereux à très court terme pour l’être humain voulant exprimer sa véritable nature.


Contrôle des populations

Par les quatre types de carapaces que peut avoir un individu

- Par les peurs : tenir un peuple par la peur en organisant des attentats ciblés, un management de la peur afin de diriger efficacement un troupeau de mougeons ou de moutruches,

- Par les jugements : tenir un peuple par la discrimination arbitraire et sectaire ; exemple du mot « complotisme » employé depuis le début de la période COVID pour discréditer les tenants de la vérité qui osent aborder le plan transhumaniste du Reset 2.0 déployé sous nos yeux ; exemple du mot « faux souvenir induit » qui sera très employé dans le futur par les différents « ministères de la Vérité » des gouvernements comme un mot jugement agissant de façon aussi hypnotique que le mot « complotisme ». Voilà pourquoi, étant particulièrement en compétence sur les faux souvenirs induits, les philosophes pythagoriciens se devaient de prendre aujourd’hui les devants pour désamorcer son futur usage déviant,

- Par les modèles du monde obsolètes : tenir un peuple par un modèle sociétal illusoire véhiculé de façon hypnotique (exemple de la démocratie républicaine) ou tenir un peuple par ses habitudes de vie, de pensée et de consommation (exemple du profilage et de la géo-localisation d’utilisateurs),

- Par les projections d’énergie : tenir un peuple par les projections magiques (sorcelleries, religions, chamanismes, etc.) et par la sexualité (faux modèles de conception/contraception, pratiques de sexualité déviantes, faux modèles du monde/IVG, IMG et fausses couches)


Tous ces types de carapaces sans exception sont générateurs de connaissance erronée ou de faux souvenirs induits. Le processus initiatique de connaissance philosophique demande à ce que chacun puisse permettre en soi la séparation du bon grain de l’ivraie, afin de discerner les vortex dextrogyres de connaissance juste des lévogyres de connaissance erronée, et de pouvoir rendre les enseignements associés à ceux qui ont projeté ces peurs, jugements, modèles du monde obsolètes ou projections d’énergie.


Contrôle des phases d’entrée et de sortie de la vie

- contrôle médicalisé de la naissance,

- contrôle psychologique des processus de décès.


Ces processus sont entièrement à revoir. Ils ne correspondent aucunement aux processus naturels de passage tels qu’ils devraient être préparés et accompagnés, simplement parce que les lois du vivant au moment de l’entrée dans la vie terrestre et de sa sortie ne sont pas connues du grand public, ni même des professionnels censés être en compétence sur le sujet. La connaissance réelle des lois du passage est en effet très majoritairement inconnue des sages femmes elles-mêmes et des accompagnants en soins palliatifs. Quand ces personnels sont formés par les initiateurs que sont les philosophes pythagoriciens, ils font de réelles découvertes et avancées sur la connaissance de leur propre métier.


En conclusion, la totalité de ce que la société trans-humaniste 2.0 produit tend vers la manipulation et le contrôle extrême sous 33 formes différentes. Dans chacune de ces formes, un ou plusieurs des 9 mécanismes sectaires apparaît, et peut nous alerter, autant sur des faux souvenirs induits diffusés aux foules par tous les moyens technologiques possibles, que sur des fausses vérités instillées dans un narratif préconçu par quelques personnes voulant imposer leur fausse autorité ou leur pouvoir aux autres. A chacune et chacun d’être vigilant pour conserver son autonomie et sa liberté!



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